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MRC de Deux-Montagnes

Municipalité MRC de Deux-Montagnes

Deux-Montagnes

Deux-Montagnes est une ville située dans la MRC de Deux-Montagnes, dans la région administrative des Laurentides, au Québec, au Canada2. Elle est située à environ 35 km à l’ouest de la métropole montréalaise.

Elle est accessible via l’autoroute 640, la route 344 (chemin d’Oka) ou encore la ligne Montréal-Deux-Montagnes de train de banlieue de l'(AMT).

 

La ville de Deux-Montagnes est ainsi nommée depuis 1963. Appelée auparavant Saint-Eustache-sur-le-Lac, le nom de Deux-Montagnes lui fut attribué à cause du lac des Deux Montagnes qui longe une bonne partie de la municipalité. Utilisé également pour nommer le comté de Deux-Montagnes, le toponyme de Deux-Montagnes est aussi employé pour désigner de nombreuses entreprises privées et publiques de la région.

 

Plusieurs interprétations du nom de Deux-Montagnes furent proposées au fil des ans. Nous vous en proposons trois qui apparaissent comme étant les plus plausibles.

 

La première explication est tirée de « L’histoire des Laurentides » où Gilles Boileau, historien qui a consacré une grande partie de son travail à l’étude de la région, affirme que ce sont les collines d’Oka, formées de roches précambriennes d’une quinzaine de kilomètres de diamètre et d’une hauteur de 225 m qui ont donné leur nom à la région. Cette explication apparaît comme étant la plus probable, puisque les collines d’Oka dominent la région par leur hauteur et leur masse. De plus, Pierre Hamelin considère également cette explication.

 

La seconde explication nous provient d’une brochure intitulée Le chemin des seigneuries. Selon les auteurs, le toponyme Deux-Montagnes tirerait ses origines de l’une des deux collines d’Oka, probablement celle où se trouve le Calvaire, et d’une autre colline située à Saint-André. Cette explication plus « régionale » mérite également d’être considérée.

 

La troisième explication se trouve dans un texte de Pierre Hamelin sur les origines du nom du lac Des-Deux-Montagnes. Selon Hamelin, la colline d’Oka où est situé le Calvaire serait l’une de ces deux montagnes, alors que la seconde, et c’est là l’originalité de cette explication, se trouverait sur la rive sud du lac près de Rigaud. Hamelin propose donc deux explications, une première qu’il partage avec Boileau et celle-ci qui veut que les deux montagnes se trouvent, l’une la rive nord et l’autre sur la rive sud. Avec l’explication fournie par les auteurs du « Chemin des Seigneuries », voilà un débat bien amorcé qui mériterait d’être éclairci un jour.

 

Si aujourd’hui la ville de Deux-Montagnes s’appelle ainsi, elle aurait pu tout aussi bien se nommer ville de Médicis, ville de Soissons, ville de Maupas ou encore ville de la Chaudière puisque ces quatre noms ont servi à désigner le lac Des-Deux-Montagnes avant que ce dernier terme ne soit employé. Toujours selon Hamelin, le nom de Médicis a été donné en 1612 au lac par Champlain en l’honneur de Marie de Médicis, épouse d’Henri IV. En 1632, Champlain change ce nom pour le lac Soissons en l’honneur du lieutenant général de la Nouvelle-France, Charles Bourbon, comte de Soissons. C’est en 1684, sur une carte de Franquelin, que l’on retrouve pour la première fois le nom de Deux-Montagnes, bien qu’il semble que ce nom ait été utilisé bien avant par la population. Quant aux noms de lac Maupas et lac de la Chaudière, aucune explication n’est fournie concernant leur origine.

 

Selon les informations recueillies par Jean-Paul Ladouceur de la Société d’histoire régionale de Deux-Montagnes, avant 1963, la ville ne s’appelait pas Deux-Montagnes, mais bien Saint-Eustache-sur-le-Lac une municipalité érigée le 18 août 1921. Le changement de nom s’est fait à la demande du conseil municipal qui voulait une appellation pouvant être traduite en anglais. À l’époque, la moitié de la population était anglophone.

 

Avant 1921, dans une proclamation datée du 7 février 1912, le territoire actuel de Deux-Montagnes a été érigé en municipalité sous le nom de Bel-Air, mais à la suite de deux requêtes de la part de contribuables, il fut ré-annexé au territoire de Saint-Eustache la même année.

 

Le nom provenait des deux montagnes que les coureurs des bois, les voyageurs et avant eux les amérindiens, apercevaient sur la rive nord-ouest du lac après le portage de Sainte-Anne-de-Bellevue. L’une de ces montagnes est la montagne du Calvaire et l’autre, sa jumelle, se trouve à la hauteur de Saint-Joseph-du-Lac.

 

Le toponyme Deux-Montagnes fut d’abord attribué au lac, puis à la seigneurie du Lac-des-Deux-Montagnes, puis à la région de Deux-Montagnes. Certains prétendent que des Indiens auraient appelé la région Mamhinhan, là où il y a des bas de rivières, d’autres avancent que les Abénaquis désignaient l’endroit du nom de Moziosagan, le garrot de l’orignal. Source Wikipédia

St-Eustache

Saint-Eustache est une ville du Québec, au Canada, chef-lieu de la MRC des Deux-Montagnes dans les Laurentides1. Elle est située à 20 km au nord-ouest de Montréal, à l’extrémité nord-est du lac des Deux Montagnes, à l’embouchure de la rivière du Chêne.

 

Elle est accessible via l’autoroute 640, l’autoroute 13 et les routes 148 et 344.

 

« La ville de Saint-Eustache, telle qu’elle existe présentement, résulte de la fusion, en 1972, de la municipalité du village de Saint-Eustache (1848), devenue ville en 1948, et de la municipalité de la paroisse qui avait annexé la municipalité de Saint-Eustache-sur-le-Lac établie en 1912. La dénomination municipale honore le souvenir du seigneur Eustache Lambert Dumont, à qui on a concédé, en 1749, l’augmentation de la seigneurie des Mille-Îles qui constitue les premiers arpents de la mission implantée au confluent des rivières du Chêne et des Mille Îles ». Source Wikipédia

St-Joseph-du-Lac

Saint-Joseph-du-Lac est une municipalité du Québec située dans la MRC de Deux-Montagnes dans la région administrative des Laurentides.

« En 1780, les Sulpiciens, alors seigneurs du Lac-des-Deux-Montagnes, concèdent les premières terres dans la côte Saint-Joseph, en bordure est de la seigneurie. Vers 1850, les habitants de la côte Saint-Joseph effectuent des démarches en vue de l’obtention d’une paroisse. Celle-ci sera créée officiellement en 1853 ». Source Wikipédia

St-Placide

Saint-Placide est une municipalité riveraine du lac des Deux Montagnes dans la municipalité régionale de comté de Deux-Montagnes au Québec (Canada), située dans la région administrative des Laurentides.

Depuis l’arrivée des premiers colons en 1780 jusqu’à aujourd’hui, le lac a constitué une grande partie de l’activité de la ville. En effet, les rivières et lacs comme la rivière des Outaouais, ont constitué des voies de transport facilitant la traite et le commerce des fourrures. Montréal est le point de départ et le point d’arrivée de ces échanges. Le lac des Deux-Montagnes, quant à lui, agissait comme point de pivot de cette voie transcontinentale. Et au-delà de ce lac, c’est la rivière des Outaouais qu’empruntaient militaires, explorateurs, commerçants et missionnaires.

C’est ainsi que tout au long du xviie siècle, le lac des Deux-Montagnes a vu passer aussi bien Champlain que La Vérendrye, et d’autres. Les autorités municipales de Saint-Placide ont choisi de faire connaître cette histoire par l’installation, en certains endroits du parc créé en bordure du lac, de panneaux explicatifs de l’histoire de la ville.

Face au site actuel de l’église et du quai sont passés Champlain lors de son voyage à l’île aux Allumettes en 1613, Étienne Brûlé en 1615 en route pour les lacs Huron et Ontario, Jean Nicolet en 1634 se dirigeant vers le lac Michigan, Médard Chouart des Groseillers et Radisson en 1659 dans leur voyage au lac Supérieur, Nicolas Perrot en 1665 en route vers le lac Michigan. Beaucoup d’autres ont aussi navigué sur le lac des Deux-Montagnes dont Pierre de Troyes en 1686 alors qu’il gagnait la Baie James, et Pierre Le Moyne d’Iberville la même année en direction de la Baie d’Hudson.

Saint-Placide est divisée en plusieurs petits secteurs qui portent les noms suivants : la Pointe-aux-Anglais, la Baie, le secteur des Épinettes, la Côte Saint-Jean, la Côte Saint-Vincent, la Côte Saint-Étienne, le noyau villageois, la Concession des Éboulis et la Pointe Masson.

La municipalité a conservé depuis plus de deux siècles sa vocation agricole, et son histoire s’est déroulé sans événements majeurs depuis l’arrivée des premiers colons en 1780. De nos jours, plus de 90 % du territoire de Saint-Placide est consacré à l’agriculture. Source Wikipédia

Ste-Marthe-sur-le-Lac

Sainte-Marthe-sur-le-Lac est une ville du Québec située dans la MRC de Deux-Montagnes dans les Laurentides.

 

« Les débuts de l’endroit du point de vue paroissial et municipal – le peuplement y était bien antérieur – remontent en 1956 avec l’érection canonique de la paroisse de Sainte-Marthe-sur-le-Lac dont le nom est repris lors de l’établissement officiel de la municipalité en 1960 et dont le territoire provient d’une partie de celui de la ville de Saint-Eustache. En 1973, le statut de ville sera accordé à Sainte-Marthe-sur-le-Lac ».

 

Liée à la paroisse de Saint-Eustache pendant près de 100 ans, la municipalité de Sainte-Marthe-sur-le-Lac acquiert son autonomie en 1960, alors que le conseil en place consent à la séparation d’une partie de son territoire pour la création d’une nouvelle entité municipale. Hervé Larocque, le fondateur de la Commission scolaire de Sainte-Marthe-sur-le-Lac, devient le premier maire de la municipalité.

 

Au printemps 2019, le Québec est frappé par des inondations exceptionnelles. La crise la plus grave survient à Sainte-Marthe-sur-le-Lac. Le 27 avril 2019 en soirée, une brèche dans la digue végétalisée protégeant la ville des crues du lac des Deux Montagnes depuis plus de 40 ans force l’évacuation d’urgence de 6 000 personnes et entraîne l’inondation de près d’un tiers du territoire de la ville où se trouve plus de 2 500 habitations5. Un an plus tard, 90 millions de dollars ont été versés en dédommagements et une nouvelle digue a été construite pour 45 millions de dollars. Plusieurs poursuites judiciaires sont toutefois engagées contre la municipalité. Source Wikipédia

Oka

Oka est une municipalité du Québec située dans la municipalité régionale de comté de Deux-Montagnes dans la région des Laurentides.

 

Au début du xviiie siècle, le Sault-au-Récollet avait été en grande partie défriché et il était exploité par des Amérindiens, sous la tutelle des missionnaires de la Compagnie des prêtres de Saint-Sulpice (les Sulpiciens). Ces derniers souhaitent alors laisser les terres aux nouveaux colons français et poursuivre leur mission d’évangéliser dans un territoire vierge, à l’extérieur l’île de Montréal. Le 17 octobre 1717, la Couronne de France leur concède la propriété d’un nouveau territoire, la seigneurie du Lac-des-Deux-Montagnes. Elle est située entre les seigneuries de des Mille-Îles et d’Argenteuil. Certaines sources documentaires affirment qu’on aurait alors promis aux autochtones « des terres bien à eux »5 afin de les motiver à se déplacer dans la seigneurie. Ils consentent à leur déplacement, et une fois les installations prêtes, la Mission du Lac-des-Deux-Montagnes est officiellement ouverte en février 1721. Le Calvaire d’Oka, un chemin de croix conçu pour faciliter l’évangélisation, est érigé entre 1740 et 1742. Dans les décennies qui suivent la Conquête britannique du Canada, des litiges apparaissent quant à l’exploitation des ressources de la seigneurie par les autochtones. À plusieurs reprises, le gouvernement refuse de leur accorder un quelconque droit de propriété. En 1840, le parlement du Bas-Canada émet une ordonnance renforçant le droit des Sulpiciens.

 

Les premiers colons canadiens s’installent à Oka à la fin du xviiie siècle. Un bureau de poste est ouvert en 1867 et on lui confère le nom d’Oka. « Suivant la tradition, le nom municipal et le gentilé qui en a été tiré, Okois, rappellent la mémoire d’un vieux chef algonquin, dont la tribu a jadis foulé le sol d’Oka; dans cette langue, okow a pour sens « poisson doré », variété que l’on pêche encore en face d’Oka. » Ce toponyme s’appliquera progressivement à tout le village entre 1878 et 1881. Source Wikipédia

Pointe-Calumet

Pointe-Calumet est une municipalité d’environ 7 000 habitants, située dans la municipalité régionale de comté (MRC) de Deux-Montagnes dans la région administrative des Laurentides au Québec (Canada).


Pointe-Calumet a jadis été un immense terrain de camping. Au fil du temps on y a construit des chalets qui sont devenus des maisons. La municipalité est née en 19531. Au milieu des années 1970, un mur d’endiguement entourant la municipalité a été construit pour stopper les inondations qui obligeaient les résidents à circuler en chaloupe dans les rues.

 

Il y a aussi eu un train qui allait d’Oka à Montréal. Celui-ci transportait les touristes. Il a été remplacé par une piste cyclable appelée « La Vagabonde » qui fait partie du réseau de la Route verte. Source Wikipédia

Deux-Montagnes est une municipalité régionale de comté (MRC) du Québec (Canada) située dans la région administrative des Laurentides. Son chef-lieu et plus grande ville est Saint-Eustache.

 

La MRC de Deux-Montagnes est située sur la rive gauche du lac des Deux Montagnes, entre la rivière des Outaouais et la rivière des Mille Îles. Elle s’insère entre la MRC d’Argenteuil à l’ouest, la ville de Mirabel au nord et la MRC de Thérèse-De Blainville au nord-est. Sur l’autre rive du lac se trouve la MRC de Vaudreuil-Soulanges dans la région de la Montérégie de même que l’agglomération de Montréal alors que la ville de Laval se trouve sur la rive opposée de la rivière des Mille Îles. La MRC de Deux-Montagnes fait partie des basses terres du Saint-Laurent. Les collines d’Oka ponctuent le relief de la MRC; toutefois, elles font partie des Collines montérégiennes.