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MRC - Thérèse-de Blainville

Municipalité MRC - Thérèse-de Blainville

Blainville

Blainville est une ville du Québec (Canada) se situant dans les Basses-Laurentides sur la Rive-Nord de Montréal, à environ 25 km au nord de la métropole. Blainville fait partie de la municipalité régionale de comté (MRC) de Thérèse-De Blainville. Au Québec seulement, Blainville se classe au 1re rang, après Sherbrooke et Mirabel, des villes québécoises où il fait bon vivre en 2019 selon le magazine Montrealguide. Avec une population de 61 543 habitants, Blainville est la 2e ville la plus peuplée de la région administative des Laurentides après Saint-Jérôme et la 17e plus peuplée du Québec.


Louis de Buade de Frontenac, ayant le désir du développement de la Nouvelle-France va concéder des terres à des gens haut placés dans la société qui ainsi acquirent le titre de seigneurs. C’est ainsi qu’est créée la seigneurie des Mille-Îles, au nord de la rivière des Mille-Îles.

 

En 1792, la mésentente entre le Seigneur Hertel et la Seigneuresse Lamarque entraîne la scission de cette seigneurie par une division nommée la Grande Ligne (maintenant connue sous le nom du boulevard du Curé-Labelle4 (route 117). En 1968, la Ville de Blainville ne fait désormais plus affaire avec la paroisse Sainte-Thérèse-de-Blainville, lui donnant officiellement le titre de ville le 14 juin.

 

La seigneurie porte le nom de son troisième seigneur, Jean-Baptiste Céloron de Blainville (1660-1756). Source Wikipédia

Boisbriand

Boisbriand est une ville située à l’entrée des Basses-Laurentides dans la MRC de Thérèse-De Blainville, au Québec, Canada.

 

En 1683, Louis XIV, Roi de France, remet au gentilhomme et militaire Michel-Sidrac Dugué de Boisbriant un vaste territoire situé au nord de la rivière des Mille Îles. En 1740, Marie-Thérèse Dugué de Boisbriand, fille de Michel-Sidrac, s’occupe activement de la colonisation du territoire. Les Charbonneau, premiers résidents de la seigneurie, s’installent près de la Grande-Côte.

 

L’implantation d’une première paroisse en 1789 concrétise les efforts de colonisation et contribue à l’accélération du peuplement de la région. La construction d’une église, plus au nord (site actuel de l’église de Sainte-Thérèse), permet de créer un nouveau pôle d’attraction. Une quinzaine d’années plus tard, on assiste à la construction des premières routes publiques, dont le boulevard Curé-Labelle, qui s’appelait à l’époque « la Grande ligne ».

 

Il faut attendre en 1845 avant que ne s’installe un nouveau système d’administration prévoyant l’élection d’administrateurs (maire et échevins) par les propriétaires fonciers. L’année 1888 marque l’avènement de l’électricité dans la région et l’ère industrielle débute.

 

Le 1er janvier 1946 est fondée la municipalité de Sainte-Thérèse-Ouest. Il s’agit d’un détachement de la grande paroisse de Sainte-Thérèse qui comptait à l’origine les territoires actuels de Saint-Augustin, Saint-Janvier, Sainte-Monique, Sainte-Thérèse, Rosemère, Bois-des-Filion, Lorraine et Blainville. Le 15 juillet 1970, alors que la population de la municipalité compte 5 600 âmes, le lieutenant-gouverneur du Québec accueille la requête de celle-ci et lui décerne par lettres patentes le statut de « ville » régie par la Loi sur les cités et villes sous le nom de « Sainte-Thérèse-Ouest ». Le conseil de cette municipalité, qui ne comporte qu’un seul quartier, est composé du maire et de six échevins.

 

En 1969, la municipalité de Sainte-Thérèse-Ouest est tenue de se défaire d’une partie importante de son territoire pendant que le gouvernement du Canada expropriait un vaste territoire pour l’aménagement du futur aéroport international de Montréal, qui serait désigné sous le nom de Mirabel. C’est ainsi qu’une partie du chemin du Côte-Nord et tout le territoire situé au nord de ce chemin, incluant la Côte Sainte-Marianne, faisait maintenanr partie du territoire de la ville de Mirabel.

 

Le 16 mars 1974, le nom de la ville de « Sainte-Thérèse-Ouest » a changé en celui de « Boisbriand » par proclamation signée du lieutenant-gouverneur du Québec. Ce changement de nom concluait un débat amorcé dès 1969 alors que le conseil municipal en place tentait de demander le changement de nom de la ville en celui de Boisbriand mais renoncé à son projet, suite à de vigoureuses représentations négatives de la part de deux importantes entreprises de la ville. En 1972, un des membres du nouveau Conseil élu en novembre 1970, J. Maurice Roussel a présenté une nouvelle résolution, accompagnée d’arguments soigneusement préparés et soutenus par les différents organismes locaux, dont des représentants étaient présents dans la salle du conseil. Certains membres du conseil suggéraient que le projet soit mis à l’étude, mais le conseiller Roussel s’est objecté vigoureusement et a demandé le vote. Le conseil n’avait d’autre choix que d’adopter la résolution à l’unanimité et de demander à l’avocat Claude Ouellette d’aller de l’avant. Malgré de nombreuses pressions de la part d’entreprises dont la compagnie General Motors, le projet a été mené à bon port.

 

En 1994, la Commission de représentation électorale du Québec a sanctionné la division de la ville en districts électoraux, qui seront au nombre de huit. Cette division était obligatoire puisque la population officielle de la ville avait surpassé les 20 000 habitants. Source Wikipédia

Bois-des-Filion

Bois-des-Filion est une ville du Québec (Canada) située dans les Basses-Laurentides dans la municipalité régionale de comté (MRC) de Thérèse-De Blainville. À mi-chemin entre Sainte-Thérèse et Terrebonne et voisine de Lorraine et Rosemère, cette ville est à environ 20 kilomètres au nord de Montréal.

 

Dans cette communauté résidentielle, on pouvait voir une croix illuminée dédiée à Notre-Dame de Bois-des-Filion.

 

Quand elle a été établie en 1949, cette ville était connue sous le nom de Saint-Maurice-de-Bois-des-Filion. Ce nom vient du premier colon à s’y être installé, Antoine Feuillon dit Filion, en 1684, et de la grande érablière sur le domaine de la famille Filion.

 

Son nom change officiellement en 1980 pour Bois-des-Filion.

 

L’histoire de la municipalité située sur la Rive-Nord de Montréal a été grandement influencée par la volonté du gouvernement québécois d’y implanter une autoroute, l’autoroute 19, en partance de Montréal jusqu’à la région des Laurentides. L’objectif était de créer trois corridors autoroutiers nord-sud desservant la couronne nord de Montréal, soit la 13, la 15 et la 19.

 

C’est dans cette optique que des résidents de la jeune municipalité de Bois-des-Filion ont été expropriés au courant des années 1960. Par ailleurs, quatre viaducs enjambant l’autoroute 640 avaient aussi été construits en prévision du passage de l’autoroute 19 qui devait se rendre jusqu’à l’autoroute 50. Ces travaux ont causé de nombreux problèmes comme des bouchons de circulation énorme.

 

Or, bien que la construction soit présentement complétée entre le boulevard Henri-Bourassa à Montréal et l’autoroute 440 à Laval, les travaux la reliant jusqu’à la 640 ont été mis en veilleuse lorsque le gouvernement québécois a mis un moratoire sur le prolongement de l’autoroute 19 au milieu des années 1970.

 

Depuis son élection en 1993, l’ancien maire de Bois-des-Filion, Paul Larocque, multiplie les initiatives et moyens de pression auprès du Ministère des Transports du Québec afin que le parachèvement de l’autoroute 19 se concrétise dans les meilleurs délais. Sa persévérance et ses efforts portent fruits. En plus de rallier la population des Basses-Laurentides, les acteurs politiques et économiques locaux au sein d’une coalition [archive], le maire a obtenu la réalisation de la route 335 qui relie le boulevard Dagenais à Laval au pont Athanase-David menant à Bois-des-Filion en 1999. De plus, une nouvelle configuration des bretelles d’accès à l’autoroute 640 a été réalisée en 2007. Mais les bouchon de circulation sont encore des problèmes quotidiens pour les citoyens de Bois-des-Filion et des villes jumelles, ce problème persiste depuis près de 50 ans. Source Wikipédia

Lorraine

Lorraine est une ville du Québec (Canada) située dans les Basses-Laurentides dans la municipalité régionale de comté (MRC) de Thérèse-De Blainville à environ 45 kilomètres au nord de Montréal.

 

Lorraine a été fondée en 1960. Sa vocation est presque exclusivement résidentielle. Aucune industrie n’est située sur le territoire de la ville. Seul un secteur commercial très limité est situé à l’entrée principale de la ville, en bordure de l’autoroute 640. Le centre commercial Place Lorraine comprend trois bâtiments et inclut un centre médical, une pharmacie, une épicerie, une SAQ et quelques boutiques. La presque totalité du réseau de distribution électrique publique est enfouie. Une grande partie de la ville est bordée d’une forêt (Forêt du Grand Coteau) où des pistes de ski et de marche sont aménagées.

 

Cette ville a été fondée en 1960 sur le domaine Garth, terrain qui aurait servi de quartier général à l’armée britannique lors de la rébellion des Patriotes en 1837. La Maison Garth, construite en 1833, est classée monument historique, quoique toujours utilisée. Cette localité résidentielle modèle a été fondée dans le cadre d’un programme fédéral du défunt ministère des Affaires urbaines, qui encourageait la création de «nouvelles villes». Source Wikipédia

Rosemère

Rosemère est une ville du Canada située dans le sud-ouest du Québec, à environ 30 km au nord de Montréal, à l’entrée des Basses-Laurentides, dans la municipalité régionale de comté (MRC) de Thérèse-De Blainville. Elle longe la rive nord de la rivière des Mille Îles, sur quelque 4,5 km. La Ville de Rosemère occupe une position enviable, notamment, quant à l’aménagement de ses espaces verts et de la protection de son milieu naturel. Ainsi, au cours des 25 dernières années, la Ville a obtenu une cinquantaine de prix et distinctions dans différents concours du Québec et du Canada, pour ses initiatives sur les plans de l’embellissement horticole, des aménagements paysagers et de la foresterie urbaine. La Ville a obtenu, pour 2015-2017 de la Corporation des fleurons du Québec, la reconnaissance de cinq fleurons, laquelle constitue la plus haute distinction de ce programme national de classification horticole. En 2008, la ville a fêté son 50e anniversaire.


Rosemère est une des rares villes du Québec à reconnaître le français et l’anglais comme langues officielles. Sa population, majoritairement francophone, compte un nombre substantiellement important d’anglophones, soit 15,8 % de la population en 2001, un pourcentage supérieur à la moyenne régionale (4 %) et provinciale (7 %). Ce pourcentage a nettement diminué au fil du temps puisqu’il s’établissait à 65 % dans les années 1960. Cette reconnaissance du bilinguisme est très présente sur le territoire où la quasi-totalité des panneaux indicateurs affichent dans les deux langues. De plus, le profil socio-historique de la ville se reflète bien dans la toponymie des rues, constituée de noms d’origine française et anglaise dans une proportion égale.

À la suite d’une ordonnance de l’Office québécois de la langue française, la ville de Rosemère dut, à l’automne 2005, changer ses panneaux afin que la présentation du français prédomine, conformément aux normes en matière d’affichage. Source Wikipédia

Ste-Anne-des-Plaines

Sainte-Anne-des-Plaines est une ville située dans la région administrative des Laurentides plus précisément dans la municipalité régionale de comté de Thérèse-De Blainville dans la province du Québec au Canada. Elle se situe trois mètres au-dessus du niveau moyen de la mer à environ 30 kilomètres au nord de la ville de Montréal. Ses habitants sont appelés les Anneplainois(es).


Le peuplement de cette région débute avec l’octroi par le Roi de France de la Seigneurie de Terrebonne en 1673. Le territoire actuel de Sainte-Anne-des-Plaines, issu de la Seigneurie de Terrebonne, s’ouvre à la colonisation vers 1731 par l’arrivée des premiers censitaires qui s’établissent le long de la rivière Mascouche (rivière Sainte-Marie), laquelle longe le rang Lepage. Le 19 juin 1787, un document signé par l’évêque de Québec, Monseigneur Hubert, permet la construction d’une église vouée à sainte Anne dans la Seigneurie des Plaines. C’est de ce jour que date la reconnaissance officielle de la paroisse de Sainte-Anne-des-Plaines. Le premier curé a été René Coyteux. En 1854, le régime seigneurial est aboli. Joseph Masson a donc été le dernier seigneur à posséder et administrer le territoire de Sainte-Anne. Le 1er juillet 1855, le Parlement impérial adopte un système constitutionnel géré par des élus locaux: c’est le début des corporations municipales. À cette époque, Sainte-Anne-des-Plaines comptait 1 600 citoyens.

 

Le premier maire a été Léonard Lesieur Desaulnier. En 2003, pour la première fois de l’histoire de la municipalité, une femme occupe le poste de mairesse. Il s’agit de Danielle Demers-Thérien. Le 18 juillet 1987, en vertu d’un décret émis par le gouvernement du Québec, Sainte-Anne-des-Plaines obtient son statut de ville.

 

Une ligne de chemin de fer du Canadien Pacifique appelée Saint-Lin Jonction traverse tout le territoire dès 1877. La ligne est abolie le 1er octobre 1963. La gare, appelée station Bruchési, était située sur la rue St-Joseph. Dès 1889, Bell Telephone Company dessert la paroisse. Le premier abonné est le notaire Ferdinand Villeneuve, qui est également secrétaire-trésorier de la municipalité. Depuis, en sa mémoire, le centre de commutation de Bell Canada sur la montée Gagnon porte son nom. Un service d’aqueduc existe à la fin du xixe siècle. L’eau était acheminée au village dans des canaux de bois à partir de sources du Trait-Carré. Un premier puits est construit en 1932 et un second en 1947. Ils sont toujours en opération sur la rue Chaumont. L’électricité fournie par la Shawinigan Water and Power Company est distribuée au village dès 1925. Des secteurs ruraux n’auront l’électricité qu’en 1940. Une partie de ce territoire a été démembrée en 1922 pour permettre la fondation de la municipalité de La Plaine, laquelle est aujourd’hui annexée à la ville de Terrebonne.

 

Ancien couvent des Sœurs de Sainte-Anne devenu aujourd’hui l’hôtel de ville.
Le démembrement civil, religieux et scolaire a été toutefois différent. Ainsi, pendant plusieurs années, des résidents ont payé leurs taxes municipales à la Ville de Sainte-Anne-des-Plaines, leur dîme à la paroisse de La Plaine et leurs taxes scolaires du côté du Terrebonne. En 1952, la Municipalité établit son premier Service des incendies. Une caserne est construite près de la rivière Lacorne, à l’entrée de la rue Therrien. En 1975, une entente est conclue entre les municipalités de Sainte-Anne-des-Plaines et La Plaine pour jumeler les services.

 

En janvier 2005, l’entente avec Terrebonne (secteur la Plaine) prend fin et le Service de sécurité incendie de Sainte-Anne-des-Plaines reprend place. En 2014, une nouvelle caserne devient nécessaire pour répondre aux nouvelles normes en vigueur et aux besoins administratifs ainsi que pour y loger les véhicules et équipements requis. Le 18 octobre 2014, la caserne est inaugurée officiellement. Elle portera le nom d’Édifice Gérard-Rivest en hommage posthume à Gérard Rivest, directeur des incendies de 1965 à 1995, qui est à l’origine de l’organisation structurée du Service des incendies à Sainte-Anne-des-Plaines au cours des années de forte croissance démographique. Le 1er juillet 1990, la ville de Sainte-Anne-des-Plaines a conclu une entente avec la ville de Terrebonne pour un service intermunicipal de police. En janvier 1995, la ville de Bois-des-Filion a adhéré à l’entente.

 

Depuis, c’est le Service intermunicipal de police des villes de Terrebonne, Sainte-Anne-des-Plaines et Bois-des-Filion qui œuvre sur nos territoires respectifs. En avril 1991, un service de soins ambulanciers s’établit sur notre territoire à la suite d’une entente intervenue avec le gouvernement du Québec. Aujourd’hui, c’est un poste de quartier du service de police intermunicipal de Terrebonne/Sainte-Anne-des-Plaines/Bois-des-Filion.

 

En août 1883, le couvent des sœurs Sainte-Anne, qui est aujourd’hui l’hôtel de ville, accueille ses premières élèves. La supérieure du couvent est alors sœur Marie-Justine. Une rue de la ville porte d’ailleurs son nom. Source Wikipédia

Ste-Thérèse

Sainte-Thérèse est une ville dans la municipalité régionale de comté (MRC) de Thérèse-De Blainville au Québec (Canada), située dans la région administrative des Laurentides2 a environ 30 kilomètres au nord de la ville de Montréal. Elle s’est récemment classée au troisième rang des villes les mieux administrées au Québec.

La ville commence son expansion sous la supervision de la seigneuresse Marie-Thérèse Dugué de Boisbriand (1671-1744) et son patronat est confié à sainte Thérèse, religieuse mystique espagnole très connue du xviie siècle. La paroisse Sainte-Thérèse y est chapeautée par le plus haut clocher du Canada.

Le 23 septembre 1683, en reconnaissance de ses services militaires, Joseph-Antoine Le Febvre de La Barre (gouverneur de la Nouvelle-France) concède la seigneurie des Mille-Îles à Michel-Sidrac Dugué de Boisbriand. L’exploitation de la seigneurie de 9 milles carrés débute en 1714 lorsque Marie-Thérèse Dugué de Boisbriand et son mari Charles Piot de Langloiserie prennent possession de la Seigneurie. En 1715, Langloiserie décède et sa femme, n’ayant pas l’énergie de s’occuper du travail de colonisation des terres, laisse la Seigneurie à l’abandon.

Il faut attendre en 1743 alors que Suzanne de Langloiserie et son mari Jean-Baptiste Céloron de Blainville prennent possession des terres. Le 15 octobre 1789, Marie-Anne Thérèse de Blainville, à qui la Seigneurie de Blainville a été léguée conjointement avec sa sœur Marie-Hypolite de Blainville, inaugure la paroisse Sainte-Thérèse-d’Ávila.

Le 1er juin 1849, le Village de Sainte-Thérèse voit le jour à la suite d’une demande de Louis Marteau, Paul Filiatrault et Joseph-Benjamin Lachaîne au Conseil des paroisses du comté de Terrebonne. Le Village deviendra officiellement une Ville en 1916. Source Wikipédia

Thérèse-De Blainville est une municipalité régionale de comté (MRC) du Québec (Canada) située dans la région des Laurentides. Elle s’étend sur 203 km2 et comptait 147 403 habitants, au 1er janvier 2009. Ses MRC voisines sont La Rivière-du-Nord, Mirabel et Deux-Montagnes. Elle est nommée en l’honneur de Marie-Thérèse Dugué de Boisbrians.  Source Wikipédia